Augmentation mammaire par prothèses à Lyon

Plus d’informations sur la chirurgie
d’augmentation mammaire par prothèses

Indications d’une augmentation par prothèses

• Poitrine naturellement peu ou pas développée (hypotrophie).
• Perte de volume après grossesses, allaitement ou variations pondérales.
• Symétrie des seins à améliorer (asymétries modérées).
• Complément d’une correction de ptôse mammaire lorsqu’un simple lifting ne suffit pas.

Si une augmentation très discrète et “100 % tissu autologue” est recherchée, un lipofilling peut être discuté. Lorsqu’on souhaite cumuler projection et douceur des contours, on peut envisager la technique composite.

Pour un panorama global, voir la page augmentation mammaire et le comparatif implants ou lipofilling ?.

Types d’implants et choix prothétique

Formes et remplissage

• Implant mammaire rond : apporte du galbe dans le décolleté ; pertinent si la partie supérieure du sein est très plate.
• Implant mammaire anatomique (en “goutte”) : profil plus en pente, utile quand on recherche un rendu très discret.
• Prothèses mammaires : silicone ou sérum physiologique : les implants en silicone cohésif sont majoritaires pour leur tenue de forme et leur toucher ; le sérum physiologique est une alternative spécifique.

Enveloppe et surface

Enveloppe d’implant lisse ou micro-texturée selon le projet et l’épaisseur tissulaire. Le choix est discuté en consultation.

Volumes, diamètres, projections

Le volume ne se résume pas aux “cc”. Le diamètre de base et la projection doivent respecter la largeur thoracique et l’élasticité cutanée pour un résultat naturel. Pour approfondir : comment choisir les bonnes prothèses et formes & tailles d’implants.

Consultation préopératoire à Lyon : plan personnalisé

À Lyon, le Dr Eburdery réalise un examen clinique, des mesures précises, et aborde les objectifs (volume, galbe, discret/visuel), la technique chirurgicale, les cicatrices, la gestion des suites et la convalescence.

Un délai de réflexion est respecté. Des examens d’imagerie peuvent être demandés selon l’âge et les antécédents.

Avant l’intervention

• Arrêt du tabac recommandé pour optimiser la cicatrisation.
• Éviter l’aspirine et AINS selon consignes.
• Essais de volumes (sizers) pour affiner le projet.
• Information sur l’hospitalisation (ambulatoire le plus souvent) et l’organisation du retour à domicile.

L’intervention : mise en place des prothèses

Anesthésie et durée

Intervention réalisée sous anesthésie générale ; durée habituelle 1 h à 1 h 30 selon la complexité.

Voies d’abord (incisions)

• Incision sous-mammaire (dans le sillon) : référence pour la précision, cicatrice bien dissimulée dans le pli.
• Aréolaire : possible selon le diamètre aréolaire et le projet cicatriciel.
• Axillaire : indication plus restreinte.

Plan de loge

• Loge pré-musculaire (devant le muscle pectoral, rétroglandulaire) : utile si couverture tissulaire suffisante ; récupération souvent plus rapide.
• Loge rétro-musculaire (derrière le muscle pectoral, parfois “dual-plane”) : camoufle mieux les bords chez les tissus fins ; moins d’ondes visibles en haut du sein.

Le choix pré- ou sous muscle dépend de l’épaisseur des tissus, du sport pratiqué, et du rendu souhaité. Le plan est défini avec vous pendant la consultation.

Suites opératoires et convalescence

• Douleurs : le plus souvent modérées et contrôlées par antalgiques ; une tension thoracique est fréquente les premiers jours.
• Convalescence post-opératoire : soutien-gorge de contention, limitation transitoire des efforts des membres supérieurs, reprise douce des activités.
• Cicatrices : soins locaux et photoprotection.
• Conseils pratiques : comment garder les seins souples après augmentation mammaire par prothèse ? Massages si indiqués par le chirurgien, hydratation cutanée, maintien du poids et respect des contrôles.

Pour un guide pas-à-pas : assurer une bonne convalescence